31 janvier 2011
Sonnet I - Louise Labé
I Ulysse lui-même ou tout autre Plus avisé encore, de ces divines apparences, Pleines de grâce, d'honneur et de réserves, N'aurait rien espéré, comme moi, qui n'en retire que malheur et affliction. Mais toi, Amour, par le moyen de ces beaux yeux, Tu as...