16 février 2011
Sonnet XIII - Louise Labé
XIII Oh ! si j'étais emportée sur la belle poitrine de celui pour lequel je me meurs : si l'envie ne m'empêchait pas de vivre le peu de temps qu'il me reste : Si en m'enlaçant il me disait : « chère Amie, rendons-nous heureux l'un l'autre », il s'assurerait...