Puisque tes jours ne t’ont laissé Puisque tes jours ne t’ont laissé Qu’un peu de cendre dans la bouche, Avant qu’on ne tende la couche Où ton cœur dorme, enfin glacé, Retourne, comme au temps passé, Cueillir, près de la dune instable, Le lys qu’y courbe...