17 décembre 2008
Le Vin de l’Assassin - Charles Baudelaire
Le Vin de l’Assassin Ma femme est morte, je suis libre ! Je puis donc boire tout mon soûl. Lorsque je rentrais sans un sou, Ses cris me déchiraient la fibre. Autant qu’un roi je suis heureux ; L’air est pur, le ciel admirable... Nous avions un été semblable...